Où sont les diaments promis?
La lumière dont mes yeux ont besoin
C’est une ilusion, un tableau surréaliste.
Les soupirs, les dernièrs soupirs
Défilent dans mon âme,
Et ne reste que la nostalgie.
Le vent dépasse mon être
Comme un fusée vers l’espace
Et maintenant je suis vide
Même les mots n’existent plus...
Dans le trou dont j’étais environée
J’aperçoi quelques mouvements
Ce sont des batîments
Qui s’érigent (là au fond) et donnent
À mon visage un peu de joie
Fondu d’effroi.
Nenhum comentário:
Postar um comentário